J'ai reçu du Seigneur. C'est-à-dire par révélation du Christ, ainsi que des autres, qui étaient présents avec lui, ce que je vous ai aussi livré de bouche à oreille, etc. Il parle ici du saint sacrement lui-même, des paroles de consécration, comme l'avaient fait les évangélistes, et de la présence réelle du corps et du sang du Christ. --- Qui sera livré pour vous. Dans les copies grecques communes, qui sont brisées pour vous, à savoir, sur la croix.

--- Vous montrerez la mort du Seigneur. Aussi souvent que vous recevrez, ce sera avec un souvenir pieux et reconnaissant de ses souffrances et de sa mort pour vous. Il rappelle à chacun que quiconque mangera ce pain (v. 27.) ainsi appelé selon les apparences extérieures, ou boira indignement le calice du Seigneur, sera, par un tel sacrilège, coupable du corps et de le sang du Seigneur.

Et (v. 29.) qu'il mange et boit le jugement, ou la condamnation pour lui-même, ne discernant pas la différence entre la nourriture céleste et les autres viandes, et ne considérant pas que c'est vraiment le corps du Seigneur. Voir saint Jean Chrysostome, hom. xxvii. Si les paroles de notre Sauveur, ceci est mon corps, etc. devaient être compris dans un sens métaphorique et figuratif seulement, est-il probable que St.

Paul, écrivant vingt-quatre ans plus tard, aux nouveaux Gentils convertis à Corinthe, aurait utilisé des mots, qui expriment pleinement comme clairement une présence vraie et réelle du corps du Christ dans l'eucharistie, sans un mot pour signifier que cela devait être compris au sens figuré seulement ? (Avec H)

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