Le Seigneur. Le Samaritain en fait une continuation du discours de Dieu, « et je donnerai à ce peuple grâce aux yeux des Égyptiens, afin qu'ils leur donnent ce qu'ils demandent. --- ver. 4. Car, vers minuit, j'irai au milieu du pays d'Egypte. --- ver. 5. Et tout premier-né dans le pays d'Egypte mourra, etc. (comme dans notre cinquième verset). --- ver. 6. Et là, &c. --- ver.

7. Mais contre aucun des enfants d'Israël, un chien ne remuera sa langue contre l'homme, ni même contre la bête, afin que tu saches que l'Éternel met une différence entre les Égyptiens et Israël. --- ver. 8. Et toi aussi tu seras grandement honoré dans le pays d'Égypte, aux yeux des serviteurs de Pharaon et aux yeux du peuple. --- ver. 9. Alors Moïse dit à Pharaon : Ainsi parle l'Éternel : Israël est mon fils, mon premier-né ; et je t'ai dit : Laisse aller mon fils, afin qu'il me serve.

--- ver. 10. Mais tu as refusé de le laisser partir; voir! c'est pourquoi l'Éternel tue ton fils, ton premier-né." --- ver. 11. Et Moïse dit, (comme ci-dessus, ver. 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10.) Les Juifs ont conservé les parties des versets 3 et 8, qui étaient honorables pour leur nation, mais ils les ont donnés comme une narration historique.Les versets 9 et 10 dans la copie samaritaine, enregistrent ce que Dieu avait auparavant commandé à Moïse de déclarer, chap.

iv. 22, 33. Comme donc tout avait été écrit une fois dans le texte hébreu, les transcripteurs pourraient probablement se croire dispensés de répéter les mêmes choses ; et ainsi ils pourraient changer quelques passages, et repousser encore l'accusation de toute corruption volontaire, ce qui semble être le sens de la préface de Ben Chaim à la Bible hébraïque de Bromberg ; où il reconnaît 13 de telles modifications faites dans les copies qui ont été présentées au roi Ptolémée, et traduites par la Septante.

(Kennicott, Dis. 2 p. 310.) --- Moïse. Cette exaltation de Moïse et du peuple n'eut lieu qu'après le massacre du premier-né, chap. xii. 36. D'où la Septante observe ici, les Égyptiens leur ont tout donné ou tout prêté (echresan). (Haydock) --- La grandeur et la dignité de Moïse ont impressionné le roi avec crainte et ont rendu le peuple plus disposé à aider les Hébreux. (Ménochius)

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