Pour chaque grand prêtre, etc. C'est-à-dire que tous les prêtres sont ordonnés pour offrir à Dieu des dons et des sacrifices ; ainsi le Christ, prêtre pour toujours, a maintenant dans le ciel quelque chose à offrir à son Père éternel ; à savoir, les mérites et les satisfactions infinis de sa mort et de sa passion. C'est ce qu'il fait dans le ciel, et aussi par le ministère de ses prêtres sur la terre, qui l'offrent en son nom. (Witham) --- C'est le sacrifice quotidien des chrétiens, clairement prédit par Malachias, chap.

je. 10. 11. Ceci est aussi clairement mentionné dans St. Justin Martyr, Dia. cum Tryphone.; Tertullien, co. M.lib. iii. type. 21.; Saint Irénée, lib. iv. type. 32.; Saint Cyprien, lib. je. adv. Jud.; Eusèbe, lib. je. Rém. Évan.; Saint Jean Chrysostome, dans le Psaume xcv.; Saint Augustin, lib. xviii. de civ. Dei. type. 35, etc. &c. Pour les autorités, voir les annotations au chapitre x. de cette épître. L'apostat Courayer, qui prétendait rester catholique, finit par devenir socinien ou unitarien, enseignait que les personnes étaient libres de nier la présence réelle, et d'admettre avec les catholiques un sacrifice commémoratif ou représentatif, mais une véritable et réelle offrande d'une victime. , vraiment présent, et effectivement offert à Dieu par le prêtre.

"Par ses derniers sentiments, (publié par le Dr Bell) il apparaît, dit le New Gen. Biogr. Dict. édité par Chalmers, an. 1814 [l'année AD 1814], vol. lxxx. art. Courayer, que bien qu'il professant mourir comme membre de l'Église catholique romaine, il ne pouvait pas être considéré comme un membre de cette Église ou de toute autre Église établie. En rejetant la doctrine de la Trinité, il devint presque, sinon tout à fait, un socinien ou un moderne Unitarien ; il a nié aussi l'inspiration des saintes Écritures, quant aux faits ; et quant au baptême, semble vouloir le confiner aux adultes.

En 1811, une exposition plus complète de ses sentiments a été publiée par le Dr Bell, dans un ouvrage posthume de Courayer, sur la divinité de Jésus-Christ, 8vo. une publication dont nous n'hésitons guère à dire qu'elle n'aurait jamais dû paraître. Il ne pouvait manquer d'illustrer le caractère hésitant et instable de l'auteur. Le credo des innovateurs n'est jamais figé ; et quand une fois qu'ils ont rejeté l'autorité de l'Église, ils sont emportés, comme des enfants, à tout vent de doctrine. » [Voir Éphésiens iv. 11-14.]

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