Cette eau clapotait. On préférait ceux qui prenaient l'eau dans leurs mains et la lapaient ainsi, avant ceux qui se couchaient tout à fait dans l'eau pour boire ; qui a fait valoir une disposition plus avide et sensuelle. (Challoner) --- On pense que le premier serait plus capable de supporter les fatigues de la guerre. (Ménochius) --- Les Juifs supposent que ceux qui s'agenouillaient avaient l'habitude de le faire en l'honneur de Baal.

Lyranus conclut qu'ils étaient extrêmement fatigués et assoiffés, tandis que les 300 subissaient les travaux de guerre avec moins d'inconvénients. Josèphe observe que cette expérience a été faite dans la chaleur du jour ; pourtant, si la Providence n'était pas intervenue, il semble très improbable que 10 000 hommes soient tous si avides d'eau. (Haydock)

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