Le roi des pouvoirs. C'est-à-dire que le puissant Roi, le Seigneur des Armées, est du bien-aimé, du bien-aimé ; c'est-à-dire est du côté du Christ, son Fils bien-aimé; et sa belle maison, c'est-à-dire l'Église, dans laquelle Dieu demeure éternellement, partagera par ses conquêtes spirituelles le butin de plusieurs nations. L'hébreu (comme il est maintenant indiqué) est ainsi rendu : Les rois des armées se sont enfuis, ils avaient fui, et celle qui habite à la maison (ou, la beauté de la maison) partagera le butin.

(Challoner) --- Pourtant Symmaque se rapproche de la Septante et saint Jérôme a dans le même sens, (Berthier) "les rois d'armées formeront des ligues", &c. Le grand Roi, c'est le Seigneur (v. 12.) des armées, qui permettra à beaucoup de publier ses merveilles. Elles sont représentées comme des femmes, pour désigner les Églises particulières du Christ, qui se sont élevées sur les ruines de l'idolâtrie, bien qu'elles puissent également se référer aux victoires des Israélites, sous Débora, lorsque de puissants rois sont venus envahir le pays, Juges iv.

, et v. 19, 24. (Haydock) --- La gloire de cette victoire lui fut donnée, ainsi qu'à Jahel, qui tua Sisara. (Calmet) --- Peu de temps après la prédication de l'évangile, les monarques les plus puissants (Calmet) se sont soumis à son autorité, et ainsi une proie glorieuse a été sauvée du pouvoir du diable. (Worthington) --- Les femmes ont parfois promu ce grand travail. (Ménochius)

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