Comme tes pieds sont beaux, littéralement, « tes pas », avec des chaussures, ô fille du prince, alors que la mariée poursuit son chemin avec une majesté majestueuse. Les articulations de tes cuisses, le balancement ou le mouvement de ses hanches en marchant, sont comme des bijoux, comme le balancement régulier d'une chaîne pendante, le travail des mains d'un ouvrier rusé, seul un artiste du plus haut rang pouvant travailler une telle perfection.

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