Et aussitôt tout le peuple, en le voyant, fut très étonné et, courant vers lui, le salua.

Jésus était parti pendant la nuit, laissant ses autres disciples (sauf Pierre, Jacques et Jean) dans la plaine. Peu importe, encore une fois, qu'ils fussent en Galilée ou encore aux environs de Césarée-Philippe à cette époque ; aussi, si les apôtres en son absence avaient prêché et accompli des miracles. Mais lorsque le Seigneur retourna vers ses disciples, il vit, même de loin, qu'il y avait une agitation inhabituelle.

Ils étaient au milieu d'une foule agitée, et il y avait des scribes, probablement de la synagogue voisine ou même de Jérusalem, se disputant avec eux. Les choses n'allaient apparemment pas très bien en son absence. Aussitôt, dès que les gens virent et reconnurent Jésus, ils furent émerveillés de joie. Ils ne s'étaient pas attendus à le voir si tôt, et les choses approchaient d'une crise ici ; c'est donc avec un sentiment de soulagement et de joie qu'ils l'ont tous accueilli.

Courant vers lui, ils le saluèrent très respectueusement. « La situation est facilement concevable : les disciples ont essayé de guérir le garçon et ont échoué ; les scribes, ravis de l'échec, les narguent avec, et suggèrent en guise d'explication le pouvoir décroissant du Maître dont ils avaient vainement tenté de nommer le nom. conjurer avec. Les neuf déconcertés font la meilleure défense qu'ils peuvent, ou peut-être écoutent en silence.

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