Des lois diverses affectant la vie des gens dans le pays après la conquête étaient maintenant prononcées. Le péché de meurtre a de nouveau été traité. Cette fois, il s'agissait du meurtre d'une personne dont on ne pouvait faire remonter la trace jusqu'au coupable. La responsabilité civique doit être reconnue en offrant des sacrifices.

La question du mariage des femmes captives a également été abordée. Si un homme avait jeté son dévolu sur l'une de ces femmes, elle devait être traitée de la manière la plus honorable. Le mariage ne devait pas être consommé avant un mois. Si à la fin de cette période l'homme était du même avis, la femme pourrait être mariée. Sinon, elle devait être autorisée à sortir en toute liberté.

Viennent ensuite les lois concernant l'héritage des enfants. Dans l'état actuel des choses, il se pourrait qu'un homme en vienne à haïr l'une de ses femmes, alors qu'il en aimerait une autre. Dans un tel cas, les enfants ne devaient pas être autorisés à souffrir. Le premier-né devait avoir les droits du droit d'aînesse, qu'il s'agisse de l'enfant de la femme aimée ou de la femme haïe.

Tandis que de cette façon le droit de l'enfant était sauvegardé, la nécessité d'une discipline parentale était imposée, et il était prévu que si l'enfant n'était pas soumis à la loi de ses parents, la ville devait agir avec discipline et jugement.

Enfin, la haine du péché envers Dieu fut révélée dans l'injonction selon laquelle les personnes pendues à un arbre à cause du péché devaient être enterrées immédiatement.

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