Cette division se termine par deux chapitres (56 et 57) qui exposent certains aspects de l'administration du Royaume. Le premier est destiné à réconforter ceux qui, par les récentes promesses de restauration faites au peuple de Dieu, risquaient d'être découragés. Des étrangers diraient : « Le Seigneur me séparera sûrement de son peuple », et, compte tenu de l'espérance de la croissance de la nation, l'eunuque déclarera : « Voici, je suis un arbre sec.

« Tous deux sont consolés. A ce dernier est promis un mémorial et un nom dans la maison de Dieu meilleurs que celui des fils et des filles. C'est une déclaration qui révèle la compréhension du prophète que la victoire à venir aura une application plus large que simplement pour le peuple élu.

Bien qu'il y ait un accueil pour les étrangers qui se soumettent au Seigneur, il doit y avoir le jugement le plus sévère du mal, même lorsqu'il se manifeste parmi le peuple élu. Les bêtes des champs sont sommées de dévorer le gardien aveugle et l'ivrogne, chefs.

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