Luc se réfère ici aux voyages de notre Seigneur et révèle le fait intéressant et magnifique de la façon dont les femmes riches pourvoyaient à lui sur le plan matériel, lui servant de leur substance.

À ce stade, Luc enregistre la parabole du semeur, qui divise à jamais en quatre sections ceux qui entendent la proclamation de la Parole : premièrement, ceux en qui sa vérité ne peut produire aucun résultat, les auditeurs au bord du chemin ; deuxièmement, ceux dont l'ouïe est superficielle, les auditeurs de rock ; troisièmement, ceux chez qui d'autres forces entravent et freinent le développement de la vérité, les auditeurs épineux ; quatrièmement, ceux qui sont réactifs.

Après la parabole, nous avons le récit d'un voyage mémorable sur la mer et retour. D'abord vint le temps du calme pour Lui-même ; Il dormait. La tempête ne l'a pas réveillé. Les disciples se sont réveillés. Il calma le vent, étouffa la mer et réprimanda les disciples.

Atteignant le pays des Gadaréniens, il rendit à la vraie vie un démoniaque, et en même temps détruisit un trafic impie et interdit. Une députation des habitants le supplia de quitter leurs côtes, et il partit. Il ne s'impose jamais à des cœurs réticents.

La sensibilité rapide de notre Seigneur au besoin qui s'aventure dans la foi se voit dans sa conscience du toucher d'une femme tremblante alors qu'il se rendait à la maison de Jaïrus. Encore une fois, sa vive appréciation de l'heure de la plus grande épreuve est révélée dans ses paroles à Jaïrus, "Ne crains pas, crois seulement." Son autorité suprême s'est révélée lorsqu'il a fait sortir les moqueurs de la chambre. Sa douce sympathie humaine se voit dans l'ordre de donner quelque chose à manger au petit.

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