« Et si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui ; ou un membre est honoré, tous les membres s'en réjouissent.

En effet, le corps littéral est tellement uni que lorsqu'un membre d'un corps littéral souffre, tout le corps en est conscient et souffre, car cela affecte le tout. Lorsque nous avons un mal de dents qui fait rage, par exemple, cela affecte le fonctionnement de tout le corps. De la même manière, le corps du Christ doit être tellement un que lorsqu'un membre du Christ souffre, tout le corps du Christ souffre avec lui, et en effet sa souffrance affecte, comme un mal de dents, le fonctionnement de tout le corps, même si ce n'est que dans un petit chemin.

Le corps ne peut pas se sentir entier lorsqu'un membre souffre. Et il en va de même lorsqu'un membre est honoré. Tout le corps est (et devrait être) si uni qu'il se réjouit qu'il soit honoré, car ils partagent son honneur. Telle devrait être l'unité du corps du Christ dans ses diverses manifestations.

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