«                                                                                                                                    .

Compte tenu de cela, il estime nécessaire, en tant que «père», d'établir sa position et son autorité. Il veut qu'ils sachent qu'il n'est en aucun cas un apôtre inférieur, un apôtre de seconde classe. Son enseignement et son autorité sont égaux à ceux du « plus haut rang », Pierre, Jacques et Jean et les autres apôtres. Il est donc un apôtre de premier plan et se détourner de son enseignement, c'est se détourner du véritable Évangile. Il est donc supérieur à ses adversaires, qui ne sont pas des Apôtres de plus haut rang, et il doit donc être écouté.

Le fait que Paul revendique ici l'égalité avec « les apôtres de plus haut rang », et non la supériorité, confirme que les douze sont à l'esprit ici. S'il avait voulu sarcastiquement « ces apôtres superlatifs », c'est-à-dire ses adversaires, il n'aurait sûrement pas simplement revendiqué l'égalité.

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