« Vanité des vanités, dit le prédicateur, tout est vanité.

C'est une référence à l'ensemble de l'existence de l'homme sur terre. Il signale l'achèvement de ce qui a été commencé dans Ecclésiaste 1:2 et la somme totale de ce que l'esprit humain peut accomplir. Tout ce qui se fait ou se passe sur terre a finalement été considéré comme dénué de sens, temporaire et transitoire. Tout espoir de sens et de valeur dépend donc de vivre devant Dieu et de l'événement final qui vient d'être décrit, que l'esprit retourne au Dieu qui l'a donné.

Cela dépend du fait qu'à la mort l'homme est ramené à Dieu et à sa mystérieuse pérennité (ce qui un jour gagnera en lumière dans la venue et l'enseignement de Jésus, et dans sa conquête finale de la mort). Mais en attendant, tout ce qui est sur terre est et reste « vanité totale ».

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