Et quand le peuple le vit, ils louèrent leur dieu car ils dirent : « Notre dieu a livré entre nos mains notre ennemi, et le destructeur de notre pays qui a tué beaucoup d’entre nous. » '

L'ordre dans lequel le verset vient n'est pas strictement chronologique. Ils le verraient d'abord lorsqu'il était conduit ligoté dans les rues en triomphe, puis lorsqu'ils visitaient la maison de la prison pour se réjouir de lui, et enfin lorsqu'ils appelaient pour qu'il soit amené au temple de Dagon. Aveuglé et enchaîné, il semblait être un triomphe pour eux et pour leur dieu, car ils se souvenaient comment il avait brûlé leurs récoltes et leurs oliveraies et comment il avait tué leurs morts. Notez comment la réjouissance et la célébration sont soulignées. Ils en ont fait un beau spectacle et c'est en fait un chant de victoire que l'on pourrait interpréter :

« Il a donné, notre Dieu,

Entre nos mains, notre ennemi,

Ravageur, de notre terre,

Multiplicateur, de nos tués.

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