« Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres, sinon le vin nouveau éclatera les outres, et lui-même se répandra, et les outres périront. »

Le point est à nouveau souligné en utilisant l'idée de mettre du vin nouveau dans de vieilles outres. Ce serait faire éclater les vieilles peaux desséchées. Ils ne sont plus assez élastiques pour faire face à la fermentation du vin nouveau. Alors tout serait perdu, le vin nouveau et les outres, car les outres périraient.

Comme le parallèle ci-dessus le révèle, cela inclut l'idée que pour que le nouveau prospère, il doit y avoir sa mort. Parce que Jésus est venu dans un endroit qui est comme de vieilles outres desséchées, sa venue ne peut qu'entraîner sa mort (le vin nouveau sera perdu) et la destruction du lieu où il est venu (les vieilles outres, Jérusalem , périra).

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