2 Chroniques 34:14 , 2 Chroniques 34:20

Considérez ce que nous perdrions si nous devions nous séparer des Écritures chrétiennes et de toutes les institutions et bénédictions pour lesquelles nous leur sommes redevables.

I. Dans la perte de la Bible et de ses fruits, nous devrions perdre la connaissance du vrai Dieu. L'histoire le prouve au-delà de toute contestation raisonnable. Dieu doit parler, ou l'homme ne le trouve pas. L'humanité a besoin d'un livre pour garder vivante sur la terre la connaissance d'un Dieu spirituel et personnel.

II. Par la perte des Écritures et de leurs résultats de la connaissance de l'humanité, nous perdrions tôt ou tard nos institutions de bienveillance. La bienveillance à grande échelle, et sous la forme d'institutions permanentes, et pour toutes les classes de l'humanité est une idée biblique.

III. Dans la perte de la Bible et de ses fruits, nous devrions tôt ou tard subir la perte de nos institutions d'éducation populaire. La culture a existé sans révélation du ciel. Les écoles ne sont pas seulement le produit de la Bible. Mais il ne fait aucun doute que l'éducation populaire est d'origine biblique. D'autres religions que chrétiennes se construisent sur l'ignorance des masses.

IV. Par la perte des Écritures et de leurs créations, nous devrions tôt ou tard nous séparer de nos institutions de liberté civile. L'histoire montre que la grande charte de la liberté dans le monde est la parole de Dieu. Les grandes nations libres de la terre sont les grandes nations chrétiennes.

A. Phelps, L'Ancien Testament, un livre vivant, p. 187.

Références : 2 Chroniques 34:14 . Homiletic Magazine, vol. xiii., p. 295. 2 Chroniques 34:27 . I. Williams, Caractères de l'Ancien Testament, p. 244 ; Spurgeon, Sermons, vol. xiii., Non.

748. 2 Chroniques 35:2 . Ibid., vol. xxvi., n° 1513. 2 Chroniques 36:1 . Clergyman's Magazine, vol. v., p. 94. 2 Chroniques 36:12 . Le mensuel du prédicateur, vol. ii., p. 265.

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