Actes 16:9

Avant chaque travail bien fait, la vision vient. On rêve avant d'accomplir. Quelle est toute notre enfance, qui vient avant notre vie, et pense et se représente ce que sera cette vie, qui imagine et se résout et est impatient qu'est-ce que c'est mais juste la vision avant le travail, le rêve de l'Europe venant à beaucoup d'un jeune vie, comme elle dort à Troas, au bord de la mer ? Les visions avant l'œuvre ; c'est leur force qui surmonte les difficultés et élève les hommes des échecs, et rachète la laideur ou la misère du travail qui réussit. L'aspect de l'homme de Macédoine révèle l'état réel de l'affaire en référence au besoin essentiel de l'âme humaine pour l'Évangile.

I. Le premier besoin est un Dieu à aimer et à adorer. Si vous ne voulez pas perdre ce plus haut degré d'amour et de peur où, s'unissant, ils font l'adoration, ne devez-vous pas avoir Dieu ? Malheur à l'homme qui perd la faculté d'adorer, la faculté d'honorer et de craindre non seulement quelque chose de meilleur que lui-même, mais quelque chose qui est le meilleur absolu, le parfait bien son Dieu ! La vie est sortie de sa vie quand cela est parti. Il y a un nuage sur sa pensée, une paralysie sur son action, un froid sur son amour. Parce que vous devez adorer, donc vous devez avoir Dieu.

II. Mais plus que cela. Tout homme n'a pas seulement besoin d'un Dieu à adorer, mais prenant aussi le fait qui nous rencontre partout d'un éloignement par le péché entre l'humanité et Dieu, tout homme a besoin d'un certain pouvoir pour le transformer et le ramener, un réconciliateur, un sauveur pour son âme. Il y a un orphelinat, une nostalgie du cœur qui est montée à l'oreille de Dieu, et a appelé le Sauveur, le Réconciliateur, à le rencontrer par sa vie et sa mort merveilleuses.

III. L'homme a besoin de conseils spirituels. La puissance du Saint-Esprit ! une pression spirituelle éternelle parmi les hommes ! quoi mais c'est la chose que nous voulons? Le pouvoir du Saint-Esprit, par lequel tout homme qui a des doutes peut savoir ce qui est juste, tout homme dont l'âme est malade peut être guéri spirituellement, tout homme faible peut devenir un homme fort, c'est la seule réponse suffisante de Dieu à la appel sans fin de la vie spirituelle de l'homme.

Phillips Brooks, La bougie du Seigneur, p. 91.

Un appel à l'aide.

I. Chacun a dû être frappé de la beauté, de la tendresse et de la profondeur qu'il y a dans ce mot aide. "Aidez nous." Cela implique qu'il y a, ce que je suppose qu'il y a dans chaque créature vivante sous le ciel, un sentiment consciemment ou inconsciemment qui cherche de l'aide. Chacun a ses aspirations ; en chacun il y a un niveau plus élevé qu'il ne peut atteindre, un sentiment de quelque chose au-delà de lui, qu'il voit et admire et qu'il souhaite être et ne peut pas.

C'est l'immortalité de l'homme c'est la relique de l'image perdue c'est le cri du vide d'un cœur qui jadis était comblé. La faiblesse, la misérable faiblesse, est l'enfant du péché, et il y a des moments où les plus durs et les plus fiers le ressentent. Vous pouvez le supposer, chaque personne qui n'a pas Dieu a parfois la pensée, bien qu'elle ne se revête pas des mots « Aidez-nous ».

II. Nous soutenons que si un homme païen vit jusqu'à la lumière de sa conscience naturelle, par cette lumière de conscience il sera jugé, et s'il y a obéi, il ne sera pas condamné. Mais alors l'objection nous rencontre, S'il en est ainsi, ne vaut-il pas mieux laisser les païens tranquilles ? Car si un homme qui suit la lumière de la raison ne périra pas, et si refuser Christ est la condamnation, et donc la responsabilité de connaître Christ si terrible, sûrement ils sont plus en sécurité comme ils le sont ! Si nous, avec toute l'aide que nous tirons de l'éducation, de la piété de ceux qui nous entourent, de la Bible, des moyens de la grâce, trouvons qu'il est si difficile de faire ce qui est juste et d'accomplir les préceptes de notre meilleur esprit, quelle doit être la difficulté pour un païen, qui n'a rien de tout cela, mais toutes les influences contraires du mal à son sujet ! L'évangile n'est-il pas pratiquement indispensable au païen pour lui permettre de remplir la condition à laquelle seul il peut échapper au châtiment éternel ? Ce que les païens veulent, c'est de l'aide.

Il y a une puissance à l'étranger dans le monde à laquelle rien n'est vraiment une force antagoniste à part Christ seul. Obéissons donc à la voix plus que mortelle par laquelle le petit bien qui est en tout et partout en soi plaide silencieusement, en Christ crie haut et fort : « Venez nous aider.

J. Vaughan, Cinquante Sermons, 2e série, p. 51.

Références : Actes 16:9 . Spurgeon, Sermons, vol. iv., n° 189 ; Trois cents contours sur le Nouveau Testament, p. 115 ; J. Oswald Dykes, Christian World Pulpit, vol. xv., p. 296 ; Le mensuel du prédicateur, vol. vi., p. 124. Actes 16:9 .

Nouveaux contours sur le Nouveau Testament, p. 89. Actes 16:13 ; Actes 16:14 . Spurgeon, Sermons, vol. ix. N° 544. Actes 16:14 . J. Burton, Christian Life and Truth, p. 44 ; JC Postans, Chaire du monde chrétien, vol. iv., p. 404 ; Le mensuel du prédicateur, vol. vi., p. 85.

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