Ecclésiaste 5:9 ; Ecclésiaste 6:1

I. À tous les niveaux de la société, la subsistance humaine est à peu près la même. Même les princes ne se nourrissent pas d'ambroisie, et les poètes ne subsistent pas d'asphodèle. Le profit de la terre est pour tous.

II. Quand un homme commence à amasser de l'argent, il commence à nourrir un appétit que rien ne peut apaiser, et que sa propre nourriture ne fera que rendre plus féroce. Heureux donc ceux qui n'en ont jamais assez pour éveiller la passion qui s'accumule !

III. C'est une autre considération qui doit nous réconcilier avec le manque de richesse qui, à mesure que l'abondance augmente, augmente les consommateurs, et de richesses moins périssables dont le propriétaire ne jouit pas plus que le simple spectateur.

IV. Parmi les plaisirs de l'obscurité, le prochain remarqué est le sommeil profond. Si les pauvres pouvaient goûter à l'opulence, cela leur révélerait d'étranges luxes dans l'humilité.

V. La richesse est souvent la ruine de son possesseur. Il est "réservé au propriétaire à sa peine".

VI. Enfin, l'infirmité et l'irritabilité qui sont les compagnons fréquents de la richesse.

VII. Que vos biens soient grands ou petits, ne pensez qu'aux joies à la droite de Dieu comme à votre trésor éternel. Menez une vie démêlée et expéditive, plaçant vos affections sur les choses d'en haut et ne vous accrochant jamais aux choses temporelles au point de perdre les choses éternelles. Le vrai disciple appréciera la richesse principalement car il peut la dépenser pour des objets chers à son cher Seigneur.

J. Hamilton, The Royal Preacher, Conférence XI.

Références : 5:10-6:12. TC Finlayson, Une exposition pratique de l'Ecclésiaste, p. 137. Ecclésiaste 5:13 . R. Buchanan, Ecclésiaste : son sens et ses leçons, p. 191. Ecclésiaste 5:14 .

J. Bennet, La Sagesse du roi, p. 310. Ecclésiaste 6:2 . JN Norton, Le Ferry du Roi, p. 66.

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