Lamentations 3:27

I. Il est bon qu'un homme porte dans sa jeunesse le joug de la soumission à l'autorité. S'il n'apprend pas cette leçon tôt, il en souffrira bientôt.

II. Il est bon qu'un homme porte dans sa jeunesse le joug de la retenue. Il ne suffit pas d'être sous la domination des autres. Qu'une telle autorité soit toujours aussi grande, il y a encore une sphère à laquelle elle ne peut pas s'étendre, et dans laquelle il y a de la place pour la propre conscience d'un homme d'affirmer son commandement. Il y a, chez nous tous, des désirs et des tendances auxquels nous devons fermement résister, et dont le refus fait partie de l'entraînement par lequel nous sommes préparés à une vie noble et utile.

III. Il est bon qu'un homme porte dans sa jeunesse le joug de la difficulté et du labeur. Il est bon pour nous tous de devoir travailler pour notre pain. Notre Créateur nous a destinés au travail, non à l'indolence. Avant même la chute, l'homme s'était vu confier son travail physique. Dieu ne l'a pas placé dans un « creux endormi » pour s'engraisser dans l'oisiveté ; mais dans un grand jardin, pour l'habiller et le garder.

IV. Il est bon pour un homme de porter dans sa jeunesse le joug de la piété vivante. C'est à cela que notre Sauveur béni nous invite lorsqu'il dit : « Prenez mon joug sur vous et apprenez de moi. Il est bon pour un homme de devenir un chrétien décidé au début de sa vie.

V. Il est bon qu'un homme porte dans sa jeunesse le joug d'une profession chrétienne publique. La première chose est d'être chrétien ; la prochaine chose est de l'avouer.

VI. Il est bon qu'un homme porte dans sa jeunesse le joug du service chrétien. Cela aidera merveilleusement votre propre foi à être engagée dans un véritable travail pour le Seigneur.

VII. Il est bon qu'un homme porte dans sa jeunesse le joug de l'affliction personnelle. Il y a un besoin marqué de ces chrétiens qui n'ont jamais souffert. Vous verrez rarement une piété d'un ton riche et doux chez un homme qui n'a rien connu de la douleur.

J. Thain Davidson, Forewarned Forarmed, p. 19.

I. Il y a d'abord le joug du foyer. Malheur à cette maison qui n'impose aucun joug à ses occupants. C'est l'office même de la famille envers ses membres jeunes et inexpérimentés. Transformer le courant de la jeune vie en un canal droit pour se rendre habituel par l'usage, et (à cette fin) insister sur la conformité à une bonne règle à exiger, comme condition d'entretien, comme condition de protection, comme la condition de vie, que ceci et non cela soit la conduite, le discours et l'humeur, et (jusqu'à des détails très précis) le mode de vie, c'est le devoir d'un foyer, afin qu'il puisse amener après lui le une bénédiction assignée et certaine. Il est bon pour un homme qu'il porte dans sa jeunesse le joug du foyer.

II. Mais le foyer doit enfin envoyer ses fils et ses filles dans une école d'expérience plus rude, et la maison à mi-chemin de ce voyage est d'abord l'école avec sa discipline, puis la formation plus spéciale pour une profession ou un métier particulier. Ici aussi il y a un joug, et un joug portant, ou bien un refus du joug, avec beaucoup de tristes conséquences de douleur et de honte.

III. Beaucoup de personnes souffrent gravement tout au long de leur vie de n'avoir pas supporté dans leur jeunesse le joug d'une église.

IV. Il y en a Un qui utilise cette figure même concernant Son propre office divin. "Prenez mon joug sur vous et apprenez de moi."

CJ Vaughan, analyste de chaire, vol. iv., p. 432.

Références : Lamentations 3:27 . Le mensuel du prédicateur, vol. v., p. 205 ; Spurgeon, Sermons, vol. xxii., n° 1291. Lamentations 3:31 . J. Burton, Christian Life and Truth, p. 368.

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