Psaume 81:12

I. Dieu a montré son amour aux Israélites en leur donnant une loi plus stricte que toutes celles qui l'avaient précédée ; Il s'est révélé comme un Dieu jaloux, qui serait obéi ; Il réprima toutes leurs actions et les punit sévèrement pour toutes les transgressions de sa loi. Ce n'est que comme dernière étape, lorsque le peuple fut déterminé à se rebeller, qu'il lui accorda cette bénédiction primordiale, comme le considérerait un esprit mondain, à savoir le loisir de suivre la convoitise de son propre cœur et de faire selon sa propre imagination. .

II. Les principes de gouvernement de Dieu sont toujours les mêmes ; Il ne change pas : et si c'était seulement en étant gouverné par lui, en portant son joug, en portant ses fardeaux, que le peuple d'Israël pouvait échapper à la servitude, être élevé, et être noble et libre, alors sans aucun doute le même est vrai de nous-mêmes, et nous aussi serons esclaves aussi longtemps que nous serons libres, et ne serons libres que lorsque nous deviendrons de cœur et d'âme les serviteurs de Dieu.

III. L'homme qui porte le joug du Christ sent qu'il doit veiller sur sa vie et sur ses pensées. (1) Il bride sa langue; (2) il est particulier dans le choix de sa société ; (3) il met un frein à son appétit; (4) il pense qu'il est juste d'être particulièrement attentif à ses dévotions et à son assiduité aux ordonnances.

Mgr Harvey Goodwin, Sermons paroissiaux, 2e série, p. 50.

Références : Psaume 81:13 : Psaume 81:13 . Spurgeon, Sermons, vol. xxi., n° 1221. Psaume 81 JR Macduff, Souvenirs de communion, p. 159.

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