Observer pour faire.

Obéissance aux commandements divins

I. C'est une violation de l'injonction dans le texte pour tout homme de substituer tout artifice ou invention de son cru, dans la pièce de ce que Dieu a prescrit dans Son culte, quand une telle prescription est claire et expresse.

II. En vertu de l'injonction dans le texte, nous sommes tenus de prendre garde, que nous n'interprétons aucune partie de l'Écriture, dans un sens tel qu'il la détourne de sa véritable signification et de son intention.

III. Par ces mots, il nous est strictement interdit de prétendre que quoi que ce soit soit un commandement divin, ce qui n'est vraiment pas le cas.

IV. Mais bien que nous ne devions rien ajouter à la Parole de Dieu, ni en retirer quoi que ce soit, prétendant qu'une telle altération est d'ordre divin, cependant, là où le Seigneur n'a pas parlé, je veux dire dans les choses qui peuvent être laissées à la prudence humaine et discrétion, les magistrats légitimes, et les gouverneurs de l'Église légalement nommés, ont un droit incontestable d'ordonner et de nommer telles observances qui sont nécessaires et commodes pour l'édification et le décorum extérieur dans le culte public ; et de veiller à ce que tout soit fait décemment et en ordre ; et dans la mesure où leurs commandements ne sont pas en opposition ou contraires à la Parole de Dieu, il devient du devoir de leur peuple de s'y conformer. ( Alex. Grant, DD ).

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