Mieux vaut un enfant pauvre et sage qu'un roi vieux et insensé, qui ne sera plus réprimandé.

Sur les avantages de la connaissance chrétienne pour les couches inférieures de la société

Il n'est pas de sujet sur lequel la Bible maintienne une cohérence de sentiment plus lucide et plus entière que la supériorité du moral sur toutes les distinctions physiques et extérieures. Une inférence très animée à tirer de notre texte est, combien peut être fait de l'humanité. Un roi vint-il s'établir parmi nous, répandit-il une grandeur sur notre ville par la présence de sa cour, et donna-t-il l'impulsion de ses dépenses au commerce de sa population ? valeur et l'ampleur qu'un tel événement aurait sur l'estimation d'une compréhension commune, ou le degré d'importance personnelle qui attacherait à celui qui se tenait un objet élevé aux yeux des citadins admiratifs.

Et pourtant, il est possible, à partir des matériaux bruts et déchiquetés d'une ruelle la plus obscure, d'élever un individu de plus grande valeur intrinsèque que celui qui attire ainsi le regard du monde sur sa personne. En formant à la sagesse le garçon le plus en lambeaux et le plus négligé qui court sur nos trottoirs, nous présentons à la communauté ce qui, selon la sagesse, coûte plus cher que ce magnifique habitant d'un palais.

Même sans regarder au-delà des limites de notre monde actuel, la vertu de la vie humble supportera d'être avantageusement contrastée avec toute la fierté et la gloire d'une condition élevée. L'homme qui, bien que parmi les plus pauvres de tous, a une sagesse et un poids de caractère qui font de lui l'oracle de son voisinage - l'homme qui, investi d'aucune autre autorité que la douce autorité de valeur, porte en sa présence un pouvoir de honte et d'intimider la débauche qui l'entoure - le vénérable père, d'où l'on entend la voix des psaumes monter avec l'offrande de chaque sacrifice du soir - le sage chrétien, qui, exercé parmi les épreuves les plus dures, regarde calmement vers le ciel, et forme les traces de ses enfants dans la voie qui y mène - l'aîné d'une famille bien ordonnée,

Mais, pour parvenir à une juste estimation de la supériorité du pauvre qui a la sagesse, sur le riche qui n'en a pas, nous devons entrer dans le calcul de l'éternité - nous devons considérer la sagesse dans sa véritable essence, comme consistant en religion, comme ayant la crainte de Dieu pour son commencement, et la règle de Dieu pour sa voie, et la faveur de Dieu pour sa fin pleine et satisfaisante - nous devons calculer à quel point il est rapide, que, sur les ailes du temps, la saison de chaque distinction dérisoire entre eux doit enfin passer ; combien de temps la mort dépouillera l'un de ses haillons, et l'autre de son apparat, et les enverra dans la nudité totale à la poussière ; combien de temps le jugement les fera sortir de leurs tombes et les placera dans une égalité extérieure devant le Grand Broyeur de leur sort futur et de leur place future, à travers des siècles qui ne finissent jamais ; comment, dans cette situation, les distinctions accidentelles de la vie seront rendues nulles, et les distinctions personnelles seront tout ce qui leur sera utile ; comment, examiné par les secrets de l'homme intérieur et les actes accomplis dans son corps, le trésor du ciel ne sera attribué qu'à celui dont le cœur y était attaché dans ce monde ; et combien terriblement le compte sera tourné entre eux, quand on découvrira de l'un qu'il doit périr faute de connaissance, et de l'autre, qu'il a la sagesse qui est pour le salut.

And let me just state that the great instrument for thus elevating the poor is that Gospel of Jesus Christ, which may be preached unto the poor. It is the doctrine of His Cross finding an easier admission into their hearts than it does through those barriers of human pride and human resistance, which are often reared on the basis of literature. Let the testimony of God be simply taken in, that on His own Son He has laid the iniquities of us all--and from this point does the humble scholar of Christianity pass into light, and enlargement, and progressive holiness. (T. Chalmers, D. D.)

The old king and the youth

It has been thought that Ecclesiastes must here be referring to some well-known event of his own times: but, if this be the case, the event has not yet been identified. Perhaps he is simply presenting an imaginary but possible case, for which there had been quite sufficient basis in many a political revolution. In those old kingdoms and empires it was always possible that even a beggar or prisoner might rise to the throne, whilst the monarch who had been born to the crown might, in his old age, perhaps through his own folly, become a poor man in his own kingdom.

Such was the instability of the most exalted of earthly positions. And Ecclesiastes sketches the picture of the young upstart--a usurper wise and skilful enough to make himself the leader of a successful revolution, and to place himself in the stead of the old monarch. So great is the popularity of this usurper that he becomes the idol of the hour: millions flock around his standard, and place him on the throne.

But even this popularity is, in turn, an evanescent thing; “those who come after him” (the people of a younger generation) “shall not rejoice in him.” He, too, has only his day. It may be that, even during his lifetime, he loses the popular favour: and, at the best, he soon passes away in death, and is speedily forgotten. Thus the glory and fame even of monarchy itself is also “vanity and feeding on wind.

” It would not be difficult to find many a “historical parallel” to this picture. One of the most striking has occurred within the memory of some of us. When Louis Philippe, the aged King of France, who would not be admonished by the signs of the times, had at length to flee from his own kingdom in 1848, Louis Napoleon, who, not long before, had been for five years a prisoner in the fortress of Ham, appeared in Paris, and, throwing himself into the midst of political affairs, gradually became more and more popular, until in due time he became President of the Republic, and ultimately Emperor of France.

On sait combien il était vénéré par les masses du peuple français, comme il n'y avait « pas de fin de tout le peuple » qui affluait autour de lui dans leur enthousiasme. Et l'on sait comment, après tant d'années de splendeur royale, l'effondrement arriva enfin soudain, et comment, après la défaite de Sedan, la nation, presque comme un seul homme, se retourna et donna un coup de pied à l'idole qu'elle avait adorée. Même l'un de nos propres poètes l'avait salué comme « l'empereur à jamais ! » Mais où est désormais toute sa « gloire » ? Sûrement « la vanité des vanités » pourrait bien être inscrite sur le tombeau de Napoléon

III. Et, en effet, la carrière de beaucoup d'hommes qui ont été portés dans une position élevée sur la vague d'enthousiasme populaire fournit une leçon la plus salutaire quant à la valeur réelle de la simple renommée et de la grandeur terrestres. ( TC Finlayson. ).

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