je serai bienveillant.

Élection pas de découragement à la recherche d'âmes

Parce que Dieu est le Créateur, le Créateur et le Soutien de toutes choses, il a le droit de faire ce qu'il veut avec toutes ses œuvres.

I. Commençons par cette affirmation, dont nous sommes absolument certains qu'elle est correcte : cette doctrine ne s'oppose à aucun confort dérivé d'autres vérités scripturaires. Il n'y a pas la moindre ombre de conflit entre la souveraineté de Dieu et la bonté de Dieu. Il peut être un souverain, et pourtant il peut être absolument certain qu'il agira toujours dans la voie de la bonté et de l'amour. Il est vrai qu'il fera ce qu'il voudra ; et pourtant il est tout à fait certain qu'il veut toujours faire ce qui, au sens le plus large, est bon et gracieux.

II. Que cette doctrine a un effet des plus salutaires sur les pécheurs. Pour le pécheur éveillé, à côté de la doctrine de la Croix, la doctrine de la grâce distinctive est peut-être la plus chargée de bénédictions et de réconfort.

1. En premier lieu, la doctrine de l'élection, appliquée par le Saint-Esprit, frappe de mort à jamais tous les efforts de la chair.

2. Encore une fois, cette doctrine donne le plus grand espoir au pécheur vraiment éveillé.

3. De plus, ne voyez-vous pas comment la doctrine de l'élection réconforte le pécheur en matière de pouvoir. Sa plainte est : « Je trouve que je n'ai pas le pouvoir de croire ; Je n'ai aucun pouvoir spirituel d'aucune sorte. Election se penche et lui murmure à l'oreille « Mais si Dieu veut te sauver, Il donne le pouvoir, donne la vie et donne la grâce ; et donc puisqu'il a donné ce pouvoir et cette puissance à d'autres aussi faibles que vous, pourquoi pas à vous ? Ayez du courage, regardez à la Croix du Christ et vivez.

« Et ah ! quelles émotions de reconnaissance, quels élans d'amour cette doctrine provoque-t-elle dans les cœurs humains. Je voulais avoir dit un mot sur l'effet de cet évangile sur les pécheurs incorrigibles. Si jamais vous devez être pardonné, Dieu doit le faire. ( C. H, Spurgeon. )

Gloire morale

Combien précieuse est la pensée suggérée par ceci - que lorsque Dieu est vu comme étant le plus bon pour ses créatures, il est alors vu comme étant le plus glorieux dans l'univers ; que la gloire et la bonté de Dieu sont tellement liées que là où l'une se révèle le plus, l'autre resplendit de sa plus riche splendeur. Ce n'est pas le pouvoir de créer, ni la justice de punir, mais la bonté de sauver, qui met en avant la gloire de Dieu.

La création est le miroir de sa puissance ; Le Sinaï est le piédestal de sa justice ; mais le Calvaire est le théâtre de sa bonté, et donc de sa grande gloire. Et nous savons tous qu'un grand génie peut nous émerveiller, de grandes richesses peuvent nous faire envie, une grande force peut nous effrayer ; mais une grande bonté s'élève sur l'âme avec une influence comme le soleil dans sa lumière brillante, nous faisant aimer aussi bien qu'admirer, et révérer, et estimer.

Perdu comme l'homme est, la bonté est encore plus impressionnante au cœur du pire. Même avec toute notre dépravation, qui n'admire pas Howard, le philanthrope, beaucoup plus que Byron, le poète ? Il y avait peut-être peu de génie chez Howard, comme le monde appelle le génie, mais il y avait une bienfaisance qui allait dans les retraites de la fièvre, dans les repaires du vice, fermant les yeux sur les vestiges monumentaux des temps anciens et n'ouvrait son cœur qu'à le cri de ceux qui étaient destinés à mourir.

Et quand on entend ce qu'il a fait, et ce qu'il a osé sous l'inspiration de la bonté, on n'est pas impressionné, mais charmé et ravi du personnage d'Howard. Mais quand nous voyons, d'un autre côté, un grand génie - et l'on ne peut qu'admirer un tel génie que ce noble doué avait - nous nous émerveillons de la grandeur et de la polyvalence de l'intellect ; mais quand cet intellect n'a servi qu'à égratigner, et à flétrir, et à faire sauter, nous le regardons de la même manière que le sirocco dans le désert, nous en sommes plutôt terrifiés, ou nous nous en éloignons, ou plutôt nous souhaiterions nous ne devrions pas le voir du tout.

Mais que le contraste entre la bonté d'un Howard et le simple pouvoir d'un Byron est complet ! Et y en a-t-il un dans cette assemblée qui ne préférerait infiniment prendre l'exemple d'Howard pour modèle, que de souhaiter que le pouvoir de Byron soit sa possession ? Mais c'est dans l'humain, et je le cite dans l'humain seulement pour vous montrer plus clairement la vérité que j'essaie d'enseigner ; que non la manifestation du pouvoir, non la manifestation de la justice, mais la manifestation de la bonté, est la plus impressionnante sur le cœur. ( J. Caroming, DD )

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