Rassemblé tous les anciens.

Le premier entretien de Moïse et d'Aaron avec les anciens d'Israël, et l'accueil qu'ils ont reçu

I. Ils ont agi sur la suggestion divine. Tout travail chrétien doit être entrepris selon la suggestion divine et en harmonie avec la volonté divine. Dieu dit généralement aux hommes comment travailler ainsi que quoi faire. Si nous devions définir nos propres méthodes de travail, nous nous mettrions souvent en grand danger, nous-mêmes et l'entreprise qui nous est confiée.

II. Ils parlaient selon la dictée divine. Les grands ouvriers ont besoin d'être instruits par Dieu. En cela consiste leur sécurité et leur succès. Un homme qui parle au monde des messages de Dieu sera toujours écouté.

III. Ils ont réussi selon l'indication divine. Ainsi s'éveillèrent Moïse et Aaron...

1. La foi.

2. Espoir.

3. La dévotion d'Israël.

Moïse avait dit auparavant qu'Israël ne le croirait pas. Nous nous méprenons sur nos missions. Nous ne pouvons pas faire une estimation du succès. Si nous agissons et parlons selon les instructions de Dieu, nous devons réussir. ( JS Exell, MA )

Cours

1. La déclaration de la volonté de Dieu est convenablement unie à l'assemblée de son peuple.

2. Les porte-parole de Dieu créés par Lui sont les plus aptes à déclarer sa pensée à Son peuple.

3. Les paroles de l'Éternel seul, qu'il a dites à ses serviteurs, doivent être données à son assemblée.

4. Dieu peut donner son esprit plus immédiatement à un serviteur qu'à un autre (à Moïse).

5. Les œuvres prodigieuses de Dieu doivent être accomplies, ainsi que ses paroles prononcées, à son peuple.

6. La congrégation de Dieu est le premier sujet auquel ses paroles et ses œuvres sont envoyées. ( G. Hughes, BD )

Le rassemblement des anciens

Le rassemblement des « anciens » des enfants d'Israël peut n'indiquer qu'une organisation familiale et tribale qui n'était pas connue ou utilisée par les Égyptiens à des fins de gouvernement, mais uniquement utilisée parmi les Israélites eux-mêmes pour leurs activités religieuses et rituelles. enseignement. Mais il serait contraire à la plupart des expériences orientales de le supposer. C'était la coutume de la plupart des dirigeants orientaux, comme des Turcs d'aujourd'hui, de reconnaître toutes les organisations gouvernementales appropriées parmi un peuple soumis.

C'était même une grande partie de la sagesse des politiques romains. Le gouvernement général, en effet, étend son pouvoir à l'individu, et ne tarde pas à le faire. Mais il est à la fois commode d'avoir l'occasion de faire fonctionner le principe du « supérieur défendeur » en droit, et politique d'avoir ainsi une emprise sur les sentiments plus généreux des classes assujetties. Les chefs de sujet, de tribu ou de peuple sont rendus responsables de la perception (ou du moins du paiement) du tribut et de la préservation d'une certaine loi et de l'ordre, et sont des sujets prêts à être extorqués sous de très légers prétextes.

D'autre part, leurs frères d'ordre inférieur s'enorgueillissent d'eux et les servent, et par eux le gouvernement général, avec beaucoup moins d'entraînement. Un exemple assez juste de ceci dans les temps modernes peut être vu dans la reconnaissance turque des divers corps religieux dans ses domaines. C'est peut-être la meilleure des illustrations modernes. ( Prof. Isaac H. Hall. )

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