Avoir la domination

La domination de l'homme sur les animaux inférieurs

I. CE DOMINION DIEU A FAIT SURVENIR DE CETTE SUPÉRIORITÉ MENTALE QUI CONSTITUE LA DISTINCTION ET LA GLOIRE DE L'HOMME.

1. Le pouvoir de l'homme est dans son esprit.

2. Le bénéfice et l'étendue de la domination de l'homme dépendant de la nature aussi bien que morale qu'intellectuelle n'était pas à l'origine dotée.

3. Comme Dieu a ainsi équipé l'homme, par sa nature supérieure, pour la domination ; ainsi, d'un autre côté, il a donné aux animaux inférieurs une disposition correspondante à reconnaître la supériorité de l'homme.

4. Ainsi, le confort de l'homme est manifestement favorisé par cette domination est acquise avec sagesse et justice, selon le dessein originel du Créateur.

« Le foin paraît, l'herbe tendre se montre, et les herbes des montagnes sont cueillies : les agneaux sont pour ton vêtement, et les chèvres sont pour le prix des champs. » Mais la domination de l'homme, lorsqu'elle est liée à la justice, est aussi un moyen de consolation pour les animaux qui lui sont liés. Vivant dans notre société et notre quartier, ils deviennent l'objet de nos soins. Attachés à nos personnes et à nos foyers, ils éprouvent du plaisir à notre service. Ils participent ainsi à notre provision et profitent de notre prévoyance.

II. LA MANIÈRE DONT NOTRE DOMINATION SUR LES ANIMAUX INFÉRIEURS DOIT ÊTRE EXERCICES. Un droit de gouverner n'est pas un droit de tyranniser ; et le droit au service ne s'étend qu'aux devoirs qui sont compatibles avec les pouvoirs des domestiques et avec la place qui leur est attribuée. Tout pouvoir est de Dieu et ne peut être exercé légalement que lorsqu'il est exercé selon ses desseins.

Cette ressemblance avec Dieu dans lequel nous avons été créé à l'origine, devrait nous rappeler que la justice, la bonté et la miséricorde sont les principales distinctions auxquelles nous devons aspirer ; et que domination a été conçue, comme celle de Celui qui l'a conçue, pour être attribuée avec sagesse, rectitude et compassion.

La considération de notre domination et les services par ceux qui sont soumis à notre pouvoir, de si innombrables manières, s'occupent de notre confort, ne font que nous imposer plus fortement le devoir de pourvoir à leur confort et de préserver du mal . Et n'est-ce pas l'essence même de la bienveillance de désirer et de favoriser le bonheur de chaque être dans la sphère de notre influence ? ( S. McGill, DD )

La bénédiction divine

Tout père aimant souhaite bonne chance à ses enfants. Le Divin Père souhaite bonne chance au premier couple humain, car tel est le sens des mots « Il les a bénis ». Nous pouvons dire aussi, sans aucune hésitation, qu'il souhaite bonne chance à chaque membre de la famille humaine, à la fois pour le temps et pour l'éternité. Ceux qui ne sont pas bénis, et il y en a des milliers, ne doivent pas attribuer cela à Dieu, mais à eux-mêmes. ( A. McAuslane, DD )

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