Où étais-tu quand j'ai posé les fondations de la terre ?

Ignorance de l'origine du monde

Dieu impressionnerait sur Job sa totale ignorance du monde dans lequel il vivait, et son incompétence à interpréter son administration morale. La morale est la suivante : Job, soucie-toi d'avoir une confiance morale en Mon caractère, plutôt que d'avoir une connaissance théorique de Mes voies. Dans le texte, il y a un défi divin par rapport au quand et au comment de l'origine du monde.

I. Le quand. Son ignorance quant au moment où Il a commencé Sa création. «Où étais-tu lorsque j'ai posé les fondations de la terre?»

II. Le comment. « Qui en a posé les mesures, si tu le sais ? ou qui a étendu la ligne dessus ? Conclusion--Le sujet sert--

1. Réprimander toute disposition à se prononcer sur les voies de Dieu.

2. Suggérer que notre grand effort devrait être de cultiver une confiance aimante dans le caractère divin, plutôt que de comprendre la procédure divine. Le comprendre, nous ne le pourrons jamais.

3. Pour nous permettre d'apprécier les services glorieux du christianisme. La question : « Où étais-tu quand j'ai posé les fondations de la terre ? me confond et m'écrase. Je me sens impuissant devant elle, elle me submerge d'un sentiment d'insignifiance. Le christianisme vient à mon soulagement. Il me dit que bien que je sois insignifiant, je suis toujours un enfant, un enfant bien-aimé de l'Éternel, et que ce n'est pas la volonté de mon Père qu'aucun, même de ses « petits », périsse ; bien plus, que c'est son bon plaisir que j'aie un royaume. ( homéliste. )

L'insignifiance de l'homme en tant que créature

I. Quelle est ton intelligence pour la Mienne ?

II. Quel est ton âge pour le mien ?

III. Quel est ton pouvoir sur le mien ?

IV. Quelle est ton indépendance vis-à-vis de la Mienne ? Il est--

1. Indépendant dans l'être.

2. En action. Ce sujet sert--

(1) Réprimander toute disposition à se prononcer sur les voies de Dieu.

(2) Suggérer que notre grand effort devrait être de cultiver une confiance aimante dans le caractère divin, plutôt que de comprendre la procédure divine.

3. Pour nous permettre d'apprécier le service glorieux du christianisme. ( homéliste. )

La création du monde

I. Quelques idées directrices concernant l'œuvre divine de la création. Avis--

1. La vieille et vénérable antiquité de l'œuvre, et son entière indépendance de la puissance et de la sagesse de l'homme. Plus d'un parvenu d'hier s'imagine capable d'enquêter et de définir chaque sujet. Les questions du texte nous amènent à considérer l'œuvre créatrice comme mystérieuse et insondable.

II. La manière dont les méditations sur cette œuvre de création peuvent être menées avec le plus de profit. Les philosophes apporteront une aide délicieuse à l'observateur le plus studieux de l'univers. La grande philosophie est dans la Bible, où résonne la voix de Dieu lui-même, décrivant ses propres opérations. Mais il faut encore l'influence spécialement éclairante du Saint-Esprit de Dieu. Cette influence doit être recherchée par la prière, tandis que les moyens appropriés sont utilisés avec diligence.

III. Les fins importantes et les usages auxquels les méditations de ce genre doivent être dirigées et appliquées. L'action de l'Esprit est particulièrement manifeste dans la sanctification des méditations dévotes jusqu'à leur propre fin. Par des méditations correctement conduites, une habitude de spiritualité est acquise et une capacité à rapprocher l'esprit de la contemplation des choses divines. Voici le porche du temple de la sagesse.

Il y a le pied de l'échelle, par lequel l'âme monte enfin au ciel. L'utilité de telles méditations n'est pas non plus confinée à l'enfance de la sagesse religieuse ; il nous suit jusqu'aux portes mêmes du ciel, oui, dans le ciel lui-même. ( J. Amour, DD )

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