Et elle est allée leur dire.

Un intérieur triste et un messager joyeux

Mark est graphique : il peint un intérieur à la manière d'un artiste hollandais. Nous voyons une compagnie de choix : « Ceux qui étaient avec lui ». Nous connaissons de nombreuses personnes et nous sommes intéressés de savoir ce qu'elles font et comment elles supportent leur deuil. Nous voyons-

I. Une assemblée affligée. "Comme ils pleuraient et pleuraient." Quelle scène ! Nous voyons un deuil commun, abondamment exprimé par les larmes et les lamentations. Ils ont pleuré-

1. Parce qu'ils avaient cru en Jésus et l'avaient aimé ; et donc ils étaient préoccupés par ce qui s'était passé.

2. Parce qu'ils ont ressenti leur grande perte en Le perdant.

3. Parce qu'ils avaient vu ses souffrances et sa mort.

4. Parce qu'ils se souvenaient de leur mauvaise conduite envers Lui.

5. Parce que leurs espoirs le concernant ont été déçus.

6. Parce qu'ils étaient complètement perplexes quant à ce qu'il fallait faire maintenant, voyant que leur chef était parti.

II. Un messager consolateur.

1. Marie-Madeleine était l'une des leurs.

2. Elle est venue avec la meilleure des nouvelles. La résurrection du Christ

(a) supprime la cause du chagrin ;

(b) s'assure de l'aide d'un Rédempteur vivant ; »

(c) assure la résurrection personnelle ( 1 Corinthiens 15:23 );

(d) apporte une justification personnelle ( Romains 4:25 ).

3. Elle n'a pas été crue.

(a) L' incrédulité est susceptible de devenir chronique : ils n'avaient pas cru au Seigneur lorsqu'il a prédit sa propre résurrection, et donc ils ne croient pas à un témoin oculaire qui l'a rapporté.

(b) L' incrédulité est cruellement injuste : ils ont fait de Marie-Madeleine une menteuse, et pourtant tous l'estimaient.

III. Une réflexion rassurante.

1. Nous ne sommes pas les seuls à avoir pleuré un Seigneur absent.

2. Nous ne sommes pas les seuls messagers qui ont été rejetés.

3. Nous sommes sûrs au-delà de tout doute de la résurrection du Christ.

(a) Les preuves sont plus abondantes que celles qui témoignent de tout autre grand événement historique.

(b) Les apôtres l'ont cru au point d'en être les témoins.

(c) Ils ont été très lents à être convaincus, et donc ce qui les a forcés à croire devrait avoir le même effet sur nous.

4. Grande raison, alors, pour nous de nous réjouir. ( CH Spurgeon. )

Deuil inutile

Une douleur n'en est pas moins vive parce qu'elle est fondée sur une erreur. Jacob pleura très amèrement Joseph, bien que son bien-aimé n'ait pas été mis en pièces, mais sur le point d'être le seigneur de toute l'Égypte. Pourtant, alors qu'il y a nécessairement tant de tristesse bien fondée dans le monde, il est dommage qu'une douleur inutile soit endurée, et endurée par ceux qui ont les meilleures raisons possibles de joie. Le cas du texte dont nous sommes saisis est typique.

Des milliers sont aujourd'hui en deuil et en pleurs qui devraient se réjouir. Oh, la masse de chagrin inutile ! L'incrédulité travaille pour le père du mensonge dans cette affaire, et produit la misère du mensonge parmi ceux qui ne sont pas en vérité des enfants de tristesse mais des héritiers de lumière et de joie. Lève-toi, foi, et avec ta lumière chasse ces ténèbres ! Et si jamais tu dois faire garnir ta lampe par une humble Marie, ne méprise pas son bienveillant secours.

Incrédulité passagère

« Est-ce qu'il y a toujours du brouillard ici ? » demanda une passagère d'un capitaine de vapeur de la Cunard, alors qu'ils traversaient à tâtons les bancs de Terre-Neuve. « Comment devrais-je savoir ? » répondit le capitaine d'un ton bourru ; "Je n'habite pas ici." Mais il y a certains des disciples du Christ qui parviennent à vivre dans les régions glaciales du brouillard spirituel pendant une grande partie de leur vie malheureuse. ( Cuyler. )

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