Ils m'avaient presque consumé sur terre ; mais je n'ai pas abandonné tes préceptes.

Le comportement de David en difficulté

I. Comment il s'est comporté dans une détresse extrême.

1. Les préceptes de Dieu étaient le sujet constant de ses pensées.

2. Il prenait soin de marcher dans la voie où la Parole de Dieu lui ordonnait de marcher.

3. Il s'est soumis patiemment à la volonté de Dieu dans toutes ses persécutions et tribulations.

4. Sa patience était accompagnée d'une douceur d'esprit et d'un comportement envers les instruments de ses calamités.

5. Il a maintenu sa droiture sous toutes les tentations de l'adversité et de la persécution.

6. Il a servi Dieu et son pays de la meilleure façon possible lorsqu'il a été empêché de les servir comme il le souhaitait.

II. Quelles étaient ses raisons pour adhérer si invariablement à son devoir.

1. Il était pleinement persuadé que rien ne s'était passé ou ne pouvait lui arriver sans la permission de la providence divine.

2. Il était d'une importance incomparablement plus grande à ses yeux de se conduire consciencieusement dans les difficultés que d'en obtenir la délivrance.

3. Il savait que ses ennuis prendraient tous une fin heureuse.

4. Il savait que ses ennuis deviendraient un bon compte par la grâce de Dieu lui permettant de les améliorer convenablement. ( H. Belfrage, DD )

Quand l'obéissance est difficile

L'un des personnages les plus agréables et utiles de Dickens, Mark Tapley, a toujours gardé son moral et celui de tous ceux qui l'entouraient, mais il était insatisfait parce que son environnement était si agréable qu'il n'y avait aucun crédit à être joyeux parmi eux. Enfin ses circonstances ont changé, et son environnement est devenu triste en effet ; mais il a vu sa chance d'être joyeux avec un certain crédit à lui-même, et s'est levé virilement à l'occasion glorieuse.

De la même manière, on peut dire qu'obéir quand l'obéissance est facile ne compte pas pour grand-chose ; le vrai test de l'obéissance vient quand il est difficile d'obéir, quand on nous demande de faire quelque chose que nous ne voulons pas faire, quelque chose que toute notre nature recule. Si nous obéissons donc, et, de plus, si nous obéissons gaiement et même avec joie, nous pouvons savoir que l'esprit d'obéissance est réellement en nous. L'essence de la vie chrétienne est l'obéissance.

C'est la clé de tout progrès dans le caractère, de toute croissance dans le bonheur, de toute propriété dans le Royaume des Cieux. Quiconque s'en rend compte souhaitera en fait des opportunités d'obéissance difficile, car l'athlète attend avec ardeur la pratique laborieuse, car c'est le chemin, et le seul, vers la couronne d'olivier. ( JB Morgan. )

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