Écoute ma prière, Seigneur, prête l'oreille à mes supplications.

Une âme pénitentielle en prière

I. Les raisons invoquées.

1. Une conscience d'injustice morale (verset 2). Aucun homme ne priera correctement jusqu'à ce qu'il soit profondément conscient qu'il n'a aucun droit sur la faveur de Dieu, et que ses besoins, s'ils sont soulagés du tout, doivent être soulagés par la seule miséricorde souveraine.

2. Un terrible sentiment de danger (versets 3, 4).

3. Une réminiscence encourageante de Dieu (verset 5).

4. Une intense envie du cœur (verset 6). Il y a ici deux figures indiquant la soif du cœur après Dieu. Le premier est tiré de la vie humaine. Comme l'enfant souffrant tend la main à sa mère, comme le mourant à son médecin, comme le noyé à la corde jetée à son secours, ainsi l'âme du pénitent tend les mains de Jim vers Dieu ; il doit l'avoir ou mourir et être perdu. Dieu est la nécessité des nécessités, le besoin suprême. Une autre figure indiquant l'avidité du cœur après Dieu est le désir de la terre desséchée de douches fertiles.

II. Les bénédictions invoquées.

1. La délivrance de l'âme (verset 7). Cela a été pourvu en Christ.

2. Guidage de l'âme (verset 8). Que le matin se lève sur moi, et que la nuit des ténèbres et de la douleur s'en aille, et montre-moi la voie par laquelle je dois marcher, la voie de la rectitude, de la sécurité.

3. Loyauté de l'âme (verset 10).

4. L' âme vivifiante (verset 11). Il doit y avoir une vie pour lutter pour la délivrance, une vie pour suivre la direction divine, pour atteindre le niveau de la rectitude et pour y marcher. ( David Thomas, DD )

Prière illustrée

Comme exemple et illustration de la prière, ce psaume nous enseigne :

1. Que nous devrions approcher Dieu avec la pleine conviction qu'il est le « récompenseur de ceux qui le recherchent avec diligence ».

2. Nous devrions faire appel à Lui non seulement comme miséricordieux, mais aussi comme fidèle et juste.

3. Nous devrions venir comme des pécheurs implorant le pardon.

4. En venant ainsi à Dieu, nous devrions chercher du réconfort en exprimant notre chagrin en sa présence et en lui confiant tous nos soins.

5. Nous devons diriger nos pensées de nos peines vers celui devant qui nous nous inclinons, et contempler son caractère et ses anciennes miséricordes.

6. Encouragés par une telle contemplation, nous devons avec une confiance renouvelée présenter nos pétitions.

7. En attendant la consolation dans le seul chemin de l'obéissance, nous devons prier pour être capables de faire la volonté de Dieu.

8. Dans nos prières, nous devons renouveler la consécration de nous-mêmes à Dieu et rechercher la protection, la délivrance et le salut en tant que Ses « serviteurs ». « Je suis à toi, sauve-moi. » ( Newman Hall, LL.B. )

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