Or Elisée était tombé malade de sa maladie dont il mourut. Et Joas, roi d'Israël, descendit vers lui, et pleura sur son visage, et dit : mon père, mon père, le char d'Israël et ses cavaliers.

Ver. 14. Or Elisée était tombé malade. ] Être, comme on le pense, au-dessus de cent ans. C'est une note pieuse qu'un écrivain reverend un maketh ici: Heureux celui qui, après la préparation due, est passé à travers les portes de la mort avant qu'il soit au courant. Heureux celui qui, par le saint usage des longues maladies, apprend à voir au loin les portes de la mort et s'adresse à un passage résolu. L'un meurt comme Elie, l'autre comme Elisée - tous deux avec bonheur.

Et dit : mon père. ] Ce même Elisée avait dit à Elie lorsqu'il avait été enlevé, et il entend maintenant autant qu'on lui attribue ce qu'on lui attribue, en récompense de sa piété envers son maître.

Le char d'Israël et ses cavaliers. ] c'est-à-dire Qui oratione plus potes quam omnes milites armis suis; b toi qui peux faire plus par tes prières que tous les soldats ne le peuvent avec leurs armes de guerre. La piété d'Elisée et ses prières étaient la force de l'État, comme ce roi méchant pouvait maintenant le reconnaître avec des larmes, bien qu'avant de l'avoir méprisé.

« Virtutem incolumen odimus,

Sublatam ex oculis quaerimus invidi. ” - Horat.

Stapleton dit qu'il appelle Elisée « les cavaliers » d'Israël, parce que par sa vie et sa doctrine saintes, il a dirigé tout Israël ; et "le char", parce que par sa vertu et ses prières, il préserva le peuple ne propter peceata Deus illos perderet, afin que Dieu ne les détruise pas pour leurs péchés. c La mort de tels est très inquiétante, un précurseur de grandes calamités. Esa 57:1

un Bp. Salle.

b Vatab.

c Prompt. Mor., Dom. v., après Epiph., Vex. 8.

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