Mais Amnon avait un ami, dont le nom [était] Jonadab, le fils de Shimea, frère de David, et Jonadab [était] un homme très subtil.

Ver. 3. Mais Amnon avait un ami. ] Un ami pas d'ami; un ami charnel, mais un ennemi spirituel, qui conseillait, pour le rétablissement de son corps, la ruine de son âme. Un tel faux ami d'Antiochus était Érasistrate, le médecin, qui, le trouvant malade d'amour, persuada son père Séleucos de se séparer de sa femme Stratonice, pour lui sauver la vie.

Et Jonadab était un homme très subtil. ] Ingénieux nequam, spirituel, mais méchant; et donc un outil approprié pour le diable avec lequel travailler. Les bonnes parties naturelles maltraitées s'avèrent être comme l'argent de la presse à l'impiété, - auctoramentum maioris infidelitatis, comme on le dit bien, - et leur sagesse culpae suasoria, comme Ambroise le dit. Augustin, écrivant à un autre comme ce Jonadab, lui dit que le diable désirait être dupé par lui. une

a Diabolus cupit a te ornari.

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