Mais il [était] blessé pour nos transgressions, [il était] meurtri pour nos iniquités : le châtiment de notre paix [était] sur lui ; et avec ses meurtrissures nous sommes guéris.

Ver. 5. Mais il a été blessé pour nos transgressions. ] Pas pour le sien ; car il « ne connaissait pas le péché, ni la ruse n'a été trouvée dans sa bouche » ; néanmoins il prit sur lui tout ce qui était pénal et qui appartenait au péché, afin que nous soyons libres. Il se contentait d'être dans le pressoir pour que nous soyons dans la cave à vin.

Il a été meurtri pour nos iniquités. ] Eαυτον αφηκεν εις βελεμνον, comme Anacréon l'a fait en une pire occasion.

Cernis ut in toto corpore sculptus amor ! "

O amour, cet amour-là ! comme Bernard parle ; qu'il brise nos cœurs durs en morceaux, qu'il les réduise en poudre, et qu'ils tombent en morceaux dans nos seins comme des gouttes d'eau. Propageons notre gratitude dans nos vies, en méditant des retours responsables dans une certaine proportion des souffrances de notre Sauveur.

Le châtiment de notre paix était sur lui. ] Ceux qui offraient autrefois des holocaustes devaient imposer la main sur la tête de la bête, signifiant ainsi l'imputation de nos péchés à Christ, et que nous devons imposer la main sur lui par la foi, si nous attendons quelque réconfort par sa mort et passion. une

Et avec ses coups, nous sommes guéris.] Par le noir et le bleu de son corps après avoir été secoué de coups secs ; et par les marques sanglantes laissées sur son dos, après avoir été flagellé, qui était une punition digne des chiens et des esclaves. Néron, ils menaçaient de le fouetter à mort, le jugeant plutôt une bête qu'un homme. Mais qu'avait fait cet innocent Agneau de Dieu ? Et pourquoi le sang du médecin deviendrait-il ainsi le baume du malade ? Nous pouvons à peine croire le pouvoir du baume à l'épée.

a Oh que comme le Christ était crucifixus, crucifié, ainsi il était cordifixus. tenu fermement dans le cœur.

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