Car [Dieu] se jettera sur lui, et n'épargnera pas : il voudrait fuir hors de sa main.

Ver. 22. Car Dieu jettera sur lui, et n'épargnera pas ] Mais s'est mis à infliger à ce maudit caïd toutes les plaies écrites et non écrites dans son livre, des coupes pleines de vengeance; un mal, un seul mal, voire un châtiment sans pitié, une misère sans pitié, une douleur sans secours, des pleurs sans consolation, un mal sans mesure, des tourments sans fin, et une imagination passée.

Il voudrait fuir hors de sa main ] Mais ce ne sera pas; comme un malheureux caïd, il court sans se reposer, mais la main de Dieu le poursuit jusqu'à ce qu'il périsse. Il peut se déplacer d'un côté à l'autre, comme l'a fait l'âne de Balaam ; il peut sauter de haut en bas, comme le cerf blessé; Sed haeret lateri lethalis arundo, la fléchette mortelle s'enfonce dans son côté, &c.

Continue après la publicité
Continue après la publicité