Combien moins dois-je lui répondre, [et] choisir mes mots [pour raisonner] avec lui ?

Ver. 14. Combien moins lui répondrai-je ] Si le ciel, la terre et la mer ne peuvent se tenir devant lui ; si les hommes les plus forts, et fortement liés et secondés, ne peuvent pas faire de leur parti un bon avec lui, ce n'est pas à moi de le soutenir ; mais plutôt de se baisser et de prendre la mer, cherchant à désarmer son indignation par une humble soumission ; d'autant plus que je ne suis pas en mesure de lui parler, de lui répondre un sur mille ; Non seulement je n'ai pas d'arguments, mais je manque de mots justes ; pas seulement des mots argumentatifs, mais aussi persuasifs.

Et choisir mes mots pour le raisonner ? ] Héb. Dois-je choisir des mots avec lui ? Broughton le rend, dois-je choisir de le dire avec Dieu ? Ma meilleure éloquence dans ce cas sera sûrement un silence soumis. Ce ne peut être ni sagesse ni devoir en moi de traiter et d'entreprendre Dieu, soit avec une main ouverte ou fermée, soit avec des subtilités logiques ou des fioritures rhétoriques. Si je devais être soit l'intimé, soit l'adversaire, je devrais sortir avec une défaite.

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