Alors Boaz dit à son serviteur qui était placé sur les moissonneurs : De qui est cette demoiselle ?

Ver. 5. A son serviteur qui était placé sur les moissonneurs. ] Son villicus, son huissier, dont le bureau était de veiller à ce que le reste soit douloureux et fidèle. Les Juifs ont un dicton, Marbe gnabhadim, marbe gezel, Celui qui multiplie les serviteurs multiplie les voleurs. Combien oisifs et gaspilleurs sont nombreux ! Un surveillant n'est donc que nécessaire.

A qui est cette demoiselle ? ] L'observant par son habitude ou son teint comme une étrangère, et avec cela laborieuse, il fait cette enquête.

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