Comme s'il avait dit, je parle ceci principalement à propos des viandes ; (et plût à Dieu tous les chrétiens le considéreraient !) particulièrement en ce qui concerne celles offertes aux idoles, et celles interdites dans la loi mosaïque. Ceux-ci, je l'accorde, sont tous indifférents, et ont leur utilité, bien que ce ne soit que pour un temps : alors les viandes et les organes qui les reçoivent, tomberont ensemble en poussière. Mais il en va tout autrement de la fornication.

Ce n'est pas indifférent, mais à tout moment mauvais. Car le corps est pour le Seigneur — Conçu uniquement pour son service. Et le Seigneur, dans un sens important, pour le corps — étant le Sauveur de celui-ci, ainsi que de l'âme ; en preuve que Dieu l'a déjà ressuscité d'entre les morts.

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