16. Car si je prêche l'évangile. Pour montrer à quel point il était très important de ne pas se priver de ce motif de gloire, il laisse entendre ce qui se serait passé, s'il s'était simplement acquitté de son ministère - qu'il n'aurait rien fait d'autre de cette manière que ce que le Seigneur lui avait enjoint par une nécessité stricte En faisant que , il dit , il n'aurait eu aucune occasion de se glorifier, car il n'était pas en son pouvoir d'éviter de le faire. (493) On demande cependant à quoi glorieux il se réfère ici, car il gloires ailleurs dans son s'exerçant lui-même dans le bureau d'enseignement avec une conscience pure (Tite 1:3.) Je réponds, qu'il parle d'une gloire qu'il pourrait opposer aux faux apôtres, quand ils ont essayé de trouver un prétexte pour insulter, comme cela paraîtra plus pleinement de ce qui suit.

Ceci est une déclaration remarquable, à partir de laquelle nous apprenons, en premier lieu, quelle est, quant aux ministres, la nature, et quelle est la proximité du lien qui est impliqué dans leur vocation, et plus loin, ce que la fonction pastorale importe et comprend. . Que l’homme qui y a été appelé une fois ne s'imagine donc plus libre de se retirer quand il choisit, si peut-être il est harcelé d'événements vexatoires, ou alourdi de malheurs, car il est dévoué au Seigneur et à l'Église, et lié par un lien sacré, qu'il était criminel de rompre. Quant au deuxième point, (494) il dit qu'une malédiction était prête à tomber sur lui, s'il n'a pas prêché l'évangile Pourquoi? Parce qu'il y a été appelé et qu'il est donc contraint par nécessité Comment, par conséquent, quiconque succède à sa charge évitera-t-il cela nécessité ? Quelle sorte de successeurs ont donc les apôtres du Pape et les autres évêques mitreux, qui pensent qu'il n'y a rien de plus inconvenant à leur poste que le devoir d'enseigner!

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