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26. Cela après examen avait. Nous ne pouvons pas dire si le gouverneur, en acquittant Paul avant eux, cherche par cette politique à l'inciter à laisser tomber son appel. Car c'était une chose crédible qu'il puisse facilement être persuadé de se débarrasser de la peur et de se soumettre au jugement et à la discrétion d'un juge juste, surtout si Agrippa devait donner son consentement amical. Dans quel but il l'a fait, il se condamne lui-même d'iniquité par sa propre bouche, en ce qu'il n'a pas laissé un homme innocent se libérer qu'il a maintenant honte d'envoyer à César, n'ayant rien à lui reprocher. Cela s'est aussi produit par la merveilleuse providence de Dieu, que les Juifs eux-mêmes devraient rendre un jugement antérieur du côté de Paul. Peut-être le gouverneur va-t-il subtilement travailler, afin de déterminer ce que le roi et les principaux hommes de Césarée pensent, que s'il tombe ainsi que Paul soit mis en liberté, il puisse en rejeter la faute sur leur cou. Car il ne voulait pas que les prêtres soient ses ennemis pour rien, dont dépendait une bonne partie de Jérusalem, et c'était le meilleur moyen qu'il pouvait prendre par écrit à César pour mêler l'autorité d'Agrippa. Mais le Seigneur (à qui il appartient de gouverner des événements contraires à l’attente de l’homme) avait du respect pour autre chose, à savoir que lorsque les nuages ​​de fausses accusations étaient chassés, Paul pouvait plus librement avouer une saine doctrine.

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