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11. Mais le centurion. Le centurion n'est pas réprimandé parce qu'il a écouté plutôt le maître et le gouverneur du navire que Paul. Car qu'aurait-il dû faire? Car même s'il réussissait bien comme - (641) l'avocat de Paul dans d'autres domaines, il savait pourtant qu'il était peu habile à naviguer. Il se laissa donc gouverner par ceux qui étaient experts, ce qui était un point d'homme sage et modeste. Oui, la nécessité même l'a presque obligé à faire cela; car le havre n'était pas commode pour passer l'hiver. Le gouverneur ne conseilla pas non plus d'engager le navire sur la mer principale, mais de le pousser dans le havre suivant, qui était presque en vue. De sorte qu'en prenant un peu de peine, ils pouvaient passer l'hiver commodément. Luc ne le récite pas en vain; mais afin que nous sachions que Paul était dès le début pourvu du sens de l'Esprit, de sorte qu'il voyait mieux ce qui était profitable que les maîtres. Nous ne savons pas s'il a été enseigné par des oracles, ou s'il a donné ce conseil par inspiration secrète. C'est certain, qu'il a servi par la suite à sa louange. En outre, en ce qu'il dit qu'ils ont navigué au-delà de la côte de Candie, jusqu'à ce qu'ils aient été capturés et emportés; notre ami Beza réprouve à juste titre l'erreur des interprètes dans ce mot ασσον, qui font d'un adverbe le nom d'une ville. -

" Plurimum deferret ," il avait une très grande déférence pour.

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