25. Les disciples l'ayant emmené de nuit. Il y a une question posée ici, s'il était permis aux disciples de sauver Paul ainsi ou non? et aussi, s'il était permis à Paul d'échapper au danger par ce moyen ou non? Car les lois disent que les murs des villes sont saints, [sacrés] et que les portes sont saintes. Par conséquent, il aurait plutôt dû souffrir la mort, que de souffrir un ordre public à être brisé pour lui. Je réponds que nous devons nous demander pourquoi il est décrété par les lois que les murs ne doivent pas être violés; à savoir, que les villes ne peuvent pas être exposées aux meurtres et aux vols, et que les villes peuvent être libres (613) de trahison. Cette raison cesse lorsque la question concerne la délivrance d'un innocent. Par conséquent, il n’était pas moins licite pour les fidèles d’être abandonnés dans un panier, qu’il ne sera permis à toute personne privée de sauter par-dessus un mur pour éviter (614) l'invasion soudaine de l'ennemi. Cicéron s'occupe de ce dernier membre, et il établit très bien que, bien que la loi interdise à un étranger de s'approcher du mur, il n'offense pas celui qui montera sur le mur pour sauver la ville, car les lois doivent toujours être (615) incliné vers les capitaux propres. Par conséquent, Paul n'est pas à blâmer, parce qu'il s'est échappé furtivement, voyant qu'il fait cela sans soulever de tumulte parmi le peuple. Néanmoins, nous voyons comment le Seigneur utilise pour humilier ceux qui sont à lui, voyant que Paul est obligé de voler sa vie aux gardiens de la ville s'il veut se sauver. Par conséquent, il compte cet exemple parmi ses infirmités. Il a connu le croisement (616) avec ce premier exercice.

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