29. Il s'est disputé avec les Grecs. Erasmus n'est pas bien dans cet endroit que ceux-ci sont ici appelés Grecs, pas ceux qui sont venus (624) des Grecs, mais plutôt ces Juifs qui étaient dispersés dans diverses parties du monde. Ces hommes avaient coutume de se réunir (625) à Jérusalem pour adorer. Et il faut penser que Paul s'est disputé plutôt avec des étrangers et des extraterrestres, (626) qu'avec ceux qui habitaient à Jérusalem, (627) parce que ce dernier genre ne l'aurait jamais suivi, et qu'il n'avait pas non plus été sagement fait de venir à leur vue. Par conséquent, étant exclu de ceux qui l'ont connu avant, il a essayé s'il y avait un espoir de faire du bien parmi des hommes qu'il ne connaissait pas, de sorte qu'il faisait le plus vigoureusement tout ce qui concernait le devoir d'un vaillant soldat.

Ils l'auraient tué. Voici, encore une fois, la fureur au lieu du zèle; et il ne peut en être autrement, mais cette hypocrisie et superstition seront cruelles et féroces. Les pieux doivent être irrités d'une sainte colère, quand ils voient la pure vérité de Dieu corrompue par des opinions fausses et méchantes; cependant, de sorte qu'ils modèrent leur zèle, qu'ils ne déposent rien avant d'avoir bien pesé la cause; et, deuxièmement, qu'ils essayent d'amener ceux qui errent hors du chemin. Enfin, s'ils voient leur obstination dépassée l'espérance, ils ne prennent pas eux-mêmes l'épée en main, car ils doivent savoir qu'ils n'ont aucune autorité qui leur a été accordée par le Seigneur pour (punir ou) se venger. Mais les hypocrites sont toujours prêts à verser le sang avant de connaître la question; de sorte que la superstition est sanglante, par une fureur aveugle et aveugle. Mais Paul, qui a couru de long en large pour vexer les pieux, ne peut demeurer nulle part maintenant. (628) Et pourtant, ce domaine était bien meilleur pour lui que s'il avait dû régner dans la paix et la tranquillité, chassant partout les pieux de leur place.

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