Maintenant, il explique sans chiffre ce qu'il avait proposé auparavant au sens figuré. Car il avait reçu l'ordre de se raser les poils de sa tête et de sa barbe avec un rasoir, et de les diviser pour que la peste en consume une partie, l'épée une autre et la famine une troisième. Maintenant, il répète la même chose mais d'une autre manière. C'est pourquoi Dieu explique pourquoi il avait offert une vision de ce genre à son serviteur. Mais il raccourcit ce que nous avons vu autrefois, parce qu'il omet le quatrième membre; car il a été commandé de prendre une partie et de la cacher sous son aisselle, ou dans l'ourlet de son vêtement; mais ici il n'est pas question de cette partie, et pourtant elle n'a pas été prononcée en vain, mais Dieu parle de diverses manières, et cela de son propre chef. Pendant ce temps, la figure et son application concordent, car Dieu consommait tout le peuple soit par la famine, la peste ou l'épée. Ce qui a été dit au sujet de la quatrième partie n’a pas été vain, mais il n’était pas nécessaire de le répéter. À cette fin, alors le Prophète tendait, puisque certains étaient des survivants, il pourrait sembler qu'ils étaient exemptés du massacre commun: qu'il pourrait emporter cet espoir, dit-il, qu'eux aussi, ou du moins beaucoup d'entre eux, périraient en brûlant. , afin qu'ils allument un feu dans tout le peuple d'Israël. Car il arrivait par l'obstination invincible du peuple, que les misérables exilés étaient plus haïs; ceux qui les avaient déjà épargnés recommencèrent à se déchaîner contre eux avec cruauté, parce que le nom du peuple devenait détestable parmi tous les hommes. Parce que, par conséquent, le reste des citoyens qui sont restés à Jérusalem a péri, d'où il est arrivé que l'incendie a pénétré dans les dix tribus, et à ces misérables exilés qui étaient captifs dans des pays lointains. Mais maintenant, notre Prophète est silencieux sur ce point. En attendant, il comprend tout ce que nous avons vu auparavant, quoique plus brièvement: il ne manquait que cette explication, qui, bien qu'utile autrefois, ne devait pas nécessairement être répétée. Une troisième partie, donc, mourra par la peste, et périra par la faim au milieu de toi; puis une troisième partie périra par l'épée autour de toi, et une troisième partie sera dispersée vers chaque vent: bien que Dieu le prétende ceci pour lui-même, Je vais disperser, dit-il, la troisième partie, et tirer l'épée après eux, afin qu'ils périssent aussi dans leur dispersion. Or, cette dispersion est en elle-même misérable, mais Dieu déclare qu'il ne se contenterait pas de cette punition modérée tant qu'il ne les aurait pas complètement consommés. Ça suit -

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