Luc 12:36 . Et vous-mêmes comme des hommes qui attendent leur maître . Il utilise une autre parabole non mentionnée par Matthieu, qui écrit plus brièvement sur ce sujet; car il se compare à un chef de famille qui, pendant qu'il participe aux festivités du mariage, ou à d'autres égards se livrant au plaisir, hors de sa propre maison , souhaite ses serviteurs se conduire avec modestie et sobriété à la maison, s'occupant de leurs occupations légales et attendant avec diligence son retour. Or, bien que le Fils de Dieu soit parti pour le repos béni du ciel et qu'il soit absent de nous, comme il a assigné à chacun son devoir, il ne serait pas convenable que nous cédions à un repos indolent. D'ailleurs, comme il nous a promis qu'il reviendrait, nous devons nous tenir prêts, à chaque instant, à le recevoir, afin qu'il ne nous trouve pas endormis. Car si un mortel considère cela comme un devoir que ses serviteurs lui doivent, cela, quelle que soit l'heure à laquelle il rentre chez lui, ils seront prêts à le recevoir, combien plus a-t-il le droit d'exiger de ses partisans qu'ils soient sobres et vigilants, et attendent toujours sa venue ? Pour les exciter à une plus grande empressement, il mentionne que les maîtres terrestres sont si ravis d'une telle promptitude de la part de leurs serviteurs, qu'ils les servent même ; non pas que tous les maîtres soient habitués à agir de cette manière, mais parce qu'il arrive parfois qu'un maître, qui est gentil et doux, admet ses serviteurs à sa propre table, comme s'ils étaient ses compagnons.

Pourtant, on peut se demander, puisque l'Écriture nous appelle dans de nombreux passages enfants de la lumière, (Éphésiens 5:8; 1 Thesaloniciens 5:5,) et puisque le Seigneur brille aussi sur nous par sa parole, afin que nous marchons comme à midi, comment le Seigneur compare-t-il notre vie aux veilles de la nuit des pneus ? Mais nous devons chercher la solution de cette difficulté à partir des paroles de Pierre, qui nous dit que la parole de Dieu brille comme une lampe allumée, pour nous permettre de voir distinctement notre route dans un endroit sombre. Nous devons donc y assister. aux deux déclarations, que notre voyage doit être effectué au milieu des ténèbres épaisses du monde, et pourtant nous sommes protégés du risque de nous égarer, tandis que le flambeau de la doctrine céleste nous précède, plus particulièrement lorsque nous avons le Christ lui-même pour soleil .

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