23. Mes lèvres se réjouiront (118) quand je te chante. Dans ce verset, David exprime plus distinctement sa résolution de ne pas rendre grâce à Dieu hypocritement, ni de manière superficielle, mais de s'engager avec un sérieux sincère dans cet exercice religieux. Par les chiffres qu'il introduit, il nous enseigne brièvement que louer Dieu serait la source de son plus grand plaisir; et ainsi il blâme indirectement la gaieté profane de ceux qui, oubliant Dieu, se bornent à se féliciter dans leur prospérité. La portée du dernier verset va dans le même sens, impliquant qu'aucune joie ne serait douce et désirable pour lui, mais telle qu'elle était liée aux louanges de Dieu, et que célébrer les louanges de son Rédempteur lui procurerait la plus grande satisfaction et le plus grand plaisir. .

"Mes lèvres bougeront vivement, quand je te chanterai,
Et mon âme se réjouira, comme toi, etc.

- Horsley .

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