Au verset troisième, le psalmiste exprime son assurance que la confiance dont il avait parlé ne serait pas vaine et illusoire, mais que Dieu prouverait à tout moment le libérateur de son peuple. Il doit évidemment être considéré comme s'adressant à lui-même et encourageant ainsi son propre cœur à espérer dans le Seigneur. Certains pensent que par la caisse claire du fowler, dont il est question ici à propos de la peste, doit être compris le mal caché comme étant distingué de l'agression ouverte, et que le psalmiste déclare que la protection divine lui est suffisante, que Satan l'attaque ouvertement et violemment ou par des méthodes plus secrètes et subtiles. Je ne rejetterais pas cette interprétation; car bien que certains puissent penser que les mots doivent être pris dans leur acceptation plus simple, le psalmiste a très probablement voulu sous ces termes désigner toutes sortes de maux et nous enseigner que Dieu était disposé et capable de nous délivrer de l'un d'eux.

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