Ce Syrien - Les mots sont emphatiques. Gehazi se persuade qu'il est juste de gâter un Syrien - c'est-à-dire un Gentil et un ennemi d'Israël.

Comme le Seigneur vit - Ces mots sont ici un serment profane. Gehazi, soucieux de se faire croire qu'il agit dans un esprit propre et même religieux, ne se fait pas scrupule d'introduire une des phrases religieuses les plus solennelles.

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