Mais Gehazi, le serviteur d'Élisha, l'homme de Dieu, a dit, à l'intérieur de lui-même, observant ce qui était passé:

voici, mon maître a épargné Naaman ce Syrien, sans recevoir de ses mains que ce qu'il a apporté: il parle de manière méprisable de Naaman, comme un étranger de la Commonwealth Israël et reproche son maître de le laisser partir librement, sans payer pour son guérir; Lorsqu'il pensait qu'il aurait dû prendre ce qu'il avait apporté et offert, et l'étant donné aux Israélites nécessiteux, et surtout aux fils des prophètes, qui le voulaient; Et peut-être que cela le perturbait surtout, qu'il n'en avait eu aucune partie lui-même:

Mais, comme le Seigneur vieillit, je vais courir après lui et en prenant un peu de lui; Le mot "quelque peu", voulant une lettre habituellement, est ce qui est parfois utilisé pour un blot; Et Jarchi observe, que Gehazi prenait quelque chose de Naaman, était une épine à lui, et en effet aussi un tel qu'il ne pouvait pas essuyer.

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