Quand il sera jugé ... - Quand pour ses infractions, il sera traduit en justice. Le psalmiste suppose qu'il «pourrait» être jugé; il semble supposer que cela «serait». Une telle méchanceté ne pouvait pas toujours échapper à la détection et, tôt ou tard, il serait arrêté et traduit en justice. «Quand» cela devrait arriver, le psalmiste prie pour que justice soit faite; afin qu'il puisse être condamné, comme il «devrait» l'être. Une telle prière ne saurait en elle-même être fausse, car il ne peut certainement pas être convenable pour les magistrats de prier pour que le méchant puisse s'échapper ou pour qu'ils échouent eux-mêmes dans le but même pour lequel ils sont nommés. Voir l'introduction générale, 6 (5) e. F.

Et que sa prière devienne un péché - De toute évidence, sa prière en référence à son «procès» pour crime; sa prière pour qu'il soit acquitté et libéré. Que l'on voit dans le résultat qu'une telle prière était fausse; que c'était, en fait, une prière pour la décharge d'un homme méchant - un homme qui devrait être puni. Que ce soit ce que serait une prière si elle était offerte pour un meurtrier ou un contrevenant à la loi - une prière à laquelle il pourrait échapper ou ne pas être puni. Tous doivent voir qu'une telle prière serait fausse ou serait un «péché»; et donc, dans son propre cas, il serait également vrai qu'une prière «pour sa propre évasion» serait «péché». Le psalmiste demande que, par le résultat du procès, une telle prière puisse être «vue» comme une prière «pour» la protection et l'évasion d'un «mauvais homme». Une phrase juste dans le cas le démontrerait; et c'est pour cela que le psalmiste prie.

Continue après la publicité
Continue après la publicité