Deuxième discours de Bildad

Bildad répond par une réprimande à Job et une réaffirmation du sort misérable des méchants déjà affirmé par Eliphaz ; pas tellement, cependant, avec une référence secrète à Job, au cas duquel la description est largement inappropriée, qu'en réponse à sa mise en accusation du gouvernement moral de Dieu.

1-4. Bildad proteste contre le langage violent de Job.

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