Mais Jéhu n'a pas pris soin de marcher dans la loi du Seigneur Dieu d'Israël. Il a aboli l'adoration de Baal, mais n'a pas maintenu l'adoration de Dieu, et n'a pas marché dans sa loi. Il montra beaucoup de zèle et de souci pour l'éradication d'une fausse religion ; mais dans la vraie religion il n'a montré aucun souci, n'a pris aucune attention : n'était pas soucieux de plaire à Dieu et de faire son devoir. De tout son cœur Son cœur, tout son cœur, n'était ni engagé ni influencé par la religion ; il n'était pas non plus vraiment zélé pour la gloire de Dieu et l'avancement d'une piété vraie et authentique en lui-même et dans les autres. Il est évident que sa propre religion était très superficielle, et pourtant Dieu s'est servi de lui comme d'un instrument pour effectuer une certaine réforme en Israël. C'est dommage que ceux qui font du bien aux autres ne soient pas toujours bons eux-mêmes.

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